L'accroissement réel de la valeur d'un bien détenu par un contribuable constitue sauf exonérations prévues par la loi, un revenu. A ce titre, ce revenu est soumis à l'impôt sur les plus values immobilières des particuliers.
Cas d'exonération :
La liste des plus values exonérées est la suivante :
Modalités de calcul de la plus value (extrait du site : www.damiers-annecy.fr
Immeuble acquis depuis moins de 2 ans |
Immeuble acquis depuis plus de 2 ans |
|
Plus value brute | Prix de cession - Prix d'achat | Prix de cession - Prix d'achat actualisé |
Plus value nette | > Plus value brute | Plus value brute diminuée d'un abattement par année de possession au-delà de la 2ème |
Plus value imposable | Plus value brute - abattement de 6 000 euros | Plus value nette - abattement de 6 000 euros |
L'actualisation du prix d'achat s'effectue en fonction des pourcentages annuels de réévaluation déterminés par le fisc. L'abattement de 6 000 euros est porté à 75 000 euros en cas d'expropriation.
Pour le calcul du prix d'achat, les contribuables ont le choix entre le calcul suivant :
Taux d'imposition :
La plus value constatée est imposable au taux de l'imposition sur le revenu majoré des prélèvements sociaux au taux de 10 % (CSG + CRDS + prélèvement de 2 %). Les plus value à court terme sont imposables l'année de leur réalisation.
Pour les plus value à long terme, le système du quotient par 5 peut être choisi par le contribuable. Ce système permet d'étaler la plus value sur 5 ans moyennant la réévaluation des montants à payer au taux d'intérêt légal.
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